Spectacles

Projet à venir 2018-2019 : Création de « Naïves hirondelles » de Roland Dubillard en co production avec Lumières des cinés et la ville d’Etampes avec des lycéens et des jeunes issus des quartiers prioritaires d’Etampes. représentation le 1à et 11 Mars  2019.

2018 : « Autopsie d’un poète » avec la médiathèque Françoise Sagan à Paris à l’occasion de l’édition « Gallimard poésie » sur Roland Dubillard et de l’édition spéciale de la « revue Europe » sur Roland Dubillard en janvier.

2017 : « Ma chanson de Roland », création théâtrale d’Ariane Dubillard à la médiathèque de Vert le Grand et à l’espace culturel Jean Jacques Robert de Mennecy en décembre.

2016 : Lecture de « Madame fait ce qu’elle dit » de Roland Dubillard à la médiathèque de Vert le Grand en mai 2016. (sous forme de bénévolat)
Projection des Enfants des Diablogues ( théâtre et cinéma réalisé en 2014 avec Lumières des cinés et Full Time Prod) lors du festival Ciné-poèmes en mars à Bezons lors du Printemps des poètes.

2015 : Création de « Si Camille me voyait » de Roland Dubillard en partenariat avec la Société des Amis de Roland Dubillard lors du colloque sur l’œuvre de Roland Dubillard au théâtre du Rond Point le 17 avril 2015, mise en espace des Carnets en marge à la Maison de la Poésie le 16 avril et soirée poétique au CNL le 15 avril.
Diffusion de « Si Camille me voyait » à l’espace culturel Jean Jacques Robert de Mennecy en mai 2015.
« Parcours particulier singulier », déambulation artistique autour d’extraits de pièces et poésies de Roland Dubillard dans la cabinet d’architecte et la galerie d’Art de Luc Weismann à Paris décembre 2015. (projet sous forme de bénévolat).


Si Camille me voyait…

Date et lieu de création : 2004 au Théâtre du Rond-Point (Paris) lors du festival Dubillard
Tournée :Théâtre du Chêne noir (Avignon), Théâtre Kléber-Méleau (Lausanne), et L’Atrium (Dax)
Auteur : Roland Dubillard
Mise en scène : Maria Machado
Distribution : Florence Lecorre, Maya Mercer, Hovnatan Avedikian, Conrad Cecil, Wilhelm Queyras
Production : Compagnie de la Tangente

Résumé :
"Si Camille me voyait…" se présente comme un rêve de jeunesse, un murmure sur le mode amoureux : le monde nous appartient ! Une mystérieuse comtesse prenant son bain dans sa berline au Bois, deux jeunes dandys excentriques, une fleuriste aux pouvoirs magiques et un comte déguisé en prélat ont  rendez-vous à minuit dans une clairière qu'on nomme le Trou de la Rose en Bouton… C'est l'heure des métamorphoses…
 
Note de mise en scène :
Les êtres et les choses se déplacent et se transforment. Rythme effréné de la jeunesse, le langage recentre le jeu. La langue est un tremplin pour le comique et un puissant moteur pour l’intrigue. Une boîte noire, à la fois calèche, lit, cercueil ou cachette, est l’élément central du décor. Elle symbolise le creuset mystérieux de l’Eros ; les personnages sans cesse y reviennent pour s’y régénérer. Elle sert aussi de promontoire pour “atteindre la lune”.Exaltante recherche de l’apesanteur. C’est un défi pour les acteurs et la mise en scène que de toujours bien peser « le poids des choses, le choix des poses… »

Presse :
« Une opérette sans musique et que l’on ne chante pas » Le Figaro
 « Cette comédie lunaire conserve un charme fou grâce à la qualité du jeu et du dynamisme des comédiens » La Marseillaise
«  Un langage irrépressible comme une balançoire qui vous propulse en avant vers le rêve, les mystifications, et en arrière vers les apparences, voire la réalité. » Marie Ordinis, Monde et Vie

Fragments de Madame fait ce qu’elle dit

Date et lieu de création : 2004 au Théâtre du Rond-Point (Paris) lors du festival Dubillard
Tournée :Théâtre du Chêne noir (Avignon), Théâtre Kléber-Méleau (Lausanne), et L’Atrium (Dax)
Auteur : Roland Dubillard
Mise en scène : Werner Schroeter
Distribution : Maria Machado, Maya Mercer, Conrad Cécil, Charles Reale, Robinson Stevenin
Lumières : Bruno Monnez
Production : Compagnie de la Tangente / Théâtre du Rond-Point avec l'aide de l’EPCC pour les arts de la scène et de l'image en Ile-de-France

Résumé :
Monologue à plusieurs voix.
« Je suis un handicapé de naissance. Madame est une tentative pour élucider mon histoire personnelle dans un monde hostile, un essai pour exister encore après mon accident vasculaire cérébral. » Roland Dubillard
 
Presse :
« Madame fait ce qu’elle dit possède, par-delà son apparence déliée, quelque chose de dense, pièce crépusculaire dans laquelle Roland Dubillard tient à faire entendre, une fois encore, son rire si particulier. Tendre, féroce, désespéré. » Le Figaro
« Délicate et aérienne, comme s’évadant d’elle-même, Maria Machado incarne une madame assez émouvante ». Pariscope

Comme un bouchon

Date et lieu de création : 2004 au Théâtre du Rond-Point (Paris) lors du festival Dubillard
Tournée : Théâtre du Chêne noir (Avignon), Festival d’Oise, Théâtre d’Eu, Théâtre Kléber-Méleau (Lausanne),  L’Atrium (Dax), Théâtre du Lucernaire (Paris)
Auteur : Roland Dubillard
Mise en scène : Ariane Dubillard
Distribution : Ariane Dubillard (comédie et chant), Isabelle Serrand (musicienne), Simon Bakhouche( comédie et chant)
Musique : Joël Cartigny, Isabelle Serrand
Consultante artistique : Guesch Patti
Production : Les Arianophiles associés et le Théâtre du Rond-Point
 
 
Note de mise en scène :
Roland Dubillard est renommé pour ses fameux Diablogues dont le but premier est de « faire rire sans bêtise », et où la métaphysique côtoie l’humour de façon surprenante. Nous n’avons pas voulu nous priver de ces cours trésors à la construction délicate, avec leur façon de poser des questions sans jamais y répondre, ou alors comme un papillon se poserait sur une fleur. Mais mon père n’a jamais cessé d’écrire de la poésie et son œuvre théâtrale est d’une grande musicalité, car c’est lui-même un remarquable musicien. C’est à ces deux aspects moins connus de son œuvre que nous souhaitons rendre hommage avec ce spectacle…"
Ariane Dubillard

                                                     
Presse :
« …Un moment de grâce et de ferveur qui nous met en contact profond avec Roland Dubillard,  Ariane Dubillard et ses amis, Simon Bakhouche, regard tendre et âme de Pierrot, Isabelle Serrand si présente au piano et bonne actrice, célèbrent les mots d’un écrivain capital. » Armelle Héliot, Le Figaro
« … on rit on pleure, on est surpris, amusé, conquis. Rares sont les spectacles où l’on partage la même joie et la même douleur de vivre. Un moment d’humanité dans ce qu’elle a de plus noble. Alors Chapeau Mademoiselle ! » Fanny Delnieppe La Provence

Les Zoizeaux

Date et lieu de création : 2009 La Péniche Opéra, Festival Diva (Paris)
Tournée : Théâtre 13 – Le treize fait chanter les comédiens- (Paris), Espace Georges Simenon (Rosny-sous-Bois), Théâtre Kléber-Méleau(Lausanne)
Auteur : Roland Dubillard, conception Ariane Dubillard et Isabelle Serrand
Comédienne-chanteuse : Ariane Dubillard
Musicienne : Isabelle Serrand
Production : Les Arianophiles associés et La Tangente


Résumé :
Ces textes écrits par un auteur-acteur pour une actrice, Nicole Ladmiral, nous parlent de ce temps où l’on a tout son temps, du présent infini de l’enfance. Dans une langue tendre, cruelle et drôle, comme elle. Pas besoin de faire du théâtre donc, celui-ci ira de soi.

Note de mise en scène : 
Certaines chansons ont été composées devant l’auteur ou avec lui.  La mise en scène, discrète et légère, mettra en valeur la fantaisie de l’auteur et de ses interprètes …

Presse :
« De père en fille les Dubillard jonglent avec l’émotion intacte et la dérision tenace » Pierre Notte, Epok

« C’est une artiste qu’on voit toujours en état de grâce, qui joue avec l’impalpable entre ciel et terre, fait rire les vocables et  vibrer les sentiments sous la comédie-poésie des mots…. » Gilles Costaz, Zurban
 « Elle a l’élégance mutine, des flammèches dans les yeux, une voix qui surfe sur les gammes et un sourire qui a valeur de passeport pour la fraternité. » Michel Caspary, 24 heures, Lausanne
« Le talent d’Ariane, tout à fait particulier, c’est de faire tenir ensemble le charme d’une voix au registre ample, l’excellence du phrasé, l’émotion qui noue la gorge et une fine fantaisie qui vous met constamment le sourire aux lèvres… » Jean-Pierre Siméon, l’Humanité

Apologie d’Héraclès 

Date et lieu de création : Pendant les deux premières saisons de résidence (2009-2011)
Maria Machado met en scène une vingtaine d’élèves du Lycée Marie Laurencin de Mennecy, très investis aux côtés de comédiens professionnels, pour deux représentations à l’Espace Culturel Jean-Jacques Robert de Mennecy (Essonne) en 2009 et 2011.

Auteur : William Page
Diplômé des Universités de Miami et d’Iowa, William Page est l’auteur de trois recueils de poésies et de nombreuses pièces de théâtre publiés aux Etats-Unis. Il reçoit en 2001 le soutien de la Fondation Beaumarchais pour son adaptation des Diablogues de Roland Dubillard. A Los Angeles en 2001, les Diablogues en anglais reçoivent l’« Ovation Award » de la meilleure adaptation. La traduction est publiée par l’Alliance Française de New York.
 
Le propos artistique
Le travail lors des ateliers prend pour base les mythes antiques et interrogent leurs résonances contemporaines.
Le mythe d’Héraclès repris au 21ème siècle. Si Héraclès vivait aujourd’hui…quels travaux accomplirait-il ?…quels monstres affronterait-il ? Héraclès, dont le nom signifie « la gloire de Héra » et qui a été pourchassé par cette même déesse toute sa vie… Une vie de labeur, de folie, d’errance. Le vieil Héraclès raconte son étrange vie d’immortel. Il a traversé toutes les époques, jusqu’à la nôtre. Le jeune Héraclès veut sauver le monde.Le vieil Héraclès est sans illusion. L’un est pure énergie, l’autre, entéléchie.Il y a  friction entre les deux.

Un spectacle en français et en anglais
Les lycéens se prêtent au jeu en anglais et en français. De nos jours, on doit pouvoir communiquer et partager des idées dans plusieurs langues. Cet atelier propose des moyens artistiques et techniques pour relever ce défi.


Mise en scène : Maria Machado
Collaboration artistique : Natalia Radinskaya
Distribution : Samuel Mercer, Audrey Meulle, Gaël Rebel, Robert Taylor, Laurent Cavaud, Anaïs Cohen
Décors/Costumes : le Collectif La Pieuvre
Lumières : Bruno Monnez